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4 Le nombre de Suisses de Russie rapatriés en Suisse entre 1917 et 1945 est estimé par J. Voegeli à 7500-8000 personnes, la période de plus fortes arrivées étant celle de la mi-1918 à 1922. Cf. Voegeli (voir note 3), p. 15.

5 Feuille fédérale (désormais FF), 1916, vol. 2, p. 533.

6 FF, 1920, vol. 1, p. 650.

7 Voegeli (voir note 3), p. 10.

8 Pour le XVIIIe siècle et la première moitié du XIXe siècle, rappelons les éléments principaux des politiques cantonales en la matière: renouvellement périodique de la citoyenneté (tous les dix ou 20 ans) qui était coûteux et que certains migrants établis hors de leurs frontières cantonales étaient souvent incapables de financer; mariages conformes aux règles cantonales au cas où l’épouse n’était pas une ressortissante du canton; démarches difficiles et onéreuses pour faire admettre à la citoyenneté l’enfant d’un Suisse né hors de son canton.

9 FF, 1946, vol. 2, p. 116.

10 FF, 1911, vol. 2, p. 577.

11 FF, 1914, vol. 1, p. 565.

12 FF, 1911, vol. 2, p. 577.

13 FF, 1916, vol. 2, p. 533.

14 R. Stössel, Die Rückwanderung von Auslandschweizern seit 1939, Diss., Bern 1958, pp. 6-7.

15 K. Anderegg, «Oberwalliser Emigration nach Übersee im dritten Viertel des 19. Jahrhunderts: Ursachen und Stellungnahmen», Schweizerisches Archiv für Volkskunde, 76, 1980, pp. 175-196.

16 Ainsi à Embd. Cf. A. Imboden, Die Produktions- und Lebensverhältnisse der Walliser Hoch-gebirgsgemeinde Embd und Möglichkeiten zur Verbesserung der gegenwärtigen Lage, Brugg 1956.

17 Quel avenir y aurait-il eu pour eux en Suisse? Aucun, l’agriculture tessinoise étant encore davantage en crise que celle du reste de la Suisse. Sur les secteurs d’activité des Tessinois en Australie et en Californie, voyez J. Gentilli, The Settlement of Swiss Ticino Immigrants in Australia, Nedlands (Australie) 1988, p. 7, 12.

18 Stössel (voir note 14), p. 29.

19 Mais s’il est relativement aisé de repérer les retours à l’aide des registres de l’état civil et des registres de famille, le repérage du retour des étrangers émigrés nés en Suisse s’avère quasiment impossible. Quant aux données officielles de l’entre-deux-guerres concernant l’immigration en Suisse des hommes soumis au contrôle militaire, elles ne peuvent être utilisées telles quelles, car elles concernent une population très composite.

20 P Michael-Caflisch, Hier hört man keine Glocken. Geschichte der Schamser Auswanderung nach Amerika und Australien, Baden 2008, p. 408ss.

21 Probablement entre 40’000 et 50’000 personnes selon H.-U. Pfister, Fremdes Brot in deutschen Landen. Wanderungsbeziehungen zwischen dem Kanton Zürich und Deutschland 1648-1800, Zurich 2001, p. 3, mais certains auteurs avancent des chiffres bien plus élevés.

22 Et souvent le retour était aussi rendu impossible du fait de la perte du droit de bourgeoisie.

23 Au contraire d’autres régions des Grisons, il n’existe pas d’émigration assistée dans le Tavetsch avant 1890. Ceux qui partent outre-mer ne sont pas les plus pauvres, et ils ne reviennent pas au pays. G. Decurtins, Viehzüchter, Dorfpolitiker und Emigranten. Wirtschaft und Bevölkerung des Bündner Bergtals Tavetsch um die Mitte des 19. Jahrhunderts, Mémoire de licence, Université de Zurich 1985, p. 147.

24 B. Boller, Misiones hin und zurück. Die Geschichte einer gescheiterten Wanderung aus der Sicht von remigrierten Schweizern aus Misiones in Argentinien, Mémoire de licence, Université de Fribourg 1991.

25 FF, 1935, vol. 2, p. 305: «Nous ne connaissons aucun exemple de colonies suisses qui n’aient à se souvenir de lourds sacrifices et de déboires, et nombreuses sont celles qui ont succombé.»

26 Descurtins (voir note 23), p. 139.

27 A.-L. Head-König, «Les migrations traditionnelles des Suisses: migrations de masse et migrations