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Tu foste meu mestre e o ficaste;
Teu coraçāo nāo me é fechado.
Sem conhecer-te m’admiraste;
Conheci-te e tenho-te amado.
Protege-me; que a clematita,
Flor das cêrcas, flor do caminho,
Estira a hastea pequenita,
E em altivo carvalho acha ninho.
CHANSON DE NADAUD.
(Préface pour les Chansons de Béranger.)
J’ai voulu te rendre un hommage
(Chacun l’entend à sa façou),
En joignant mon petit ramage
Au large accent de ta chanson.
Pardonne cet excès de zèle;
J’ai mêlé mon cuivre à ton or;
J’attache une plume à ton aile,
Pour suivre un moment ton essor.